C’était un jour et je n’en sais plus la fin. Dans la colline si tu vois, je regardais plus sombre et là s’éclaire tout un pan des nuages le soleil on dirait l’a choisi. De la plage si loin dont le sable dur à mes pieds ne s’enfonce, où je peux marcher, des milliers de coquillages blancs seulement, d’autre jour, un matin si calme d’ailleurs, en plusieurs des petites vagues l’approchaient, tapis d’algues, la mer était plate et le ciel où s’y reflétait complètement, j’aurais cru.