« Tu les publieras peut-être un jour, si le cœur t’en dit… » C’était dans les années 80. Il y a trente ans.
Pourquoi ai-je tant différé à transmettre le précieux dépôt ? Difficile à dire. Le départ de ma mère m’a d’abord pétrifié. Il m’a sans doute fallu vieillir pour qu’évoquer sa mémoire me devînt supportable… (Extrait de la préface de Félix Tuscher, fils de l’auteure)